Laura Haby vit et travaille entre la France et l'Italie. Dans une approche documentaire, les sujets qu’elle traite évoluent généralement à l'intérieur de micro-drames, effleurant le registre du conte. Dans ses projets de vidéos ou de films, les contextes sociologiques, les descriptions psychologiques sont fréquemment mises en tension, en mouvement, avec des croyances métaphysiques. Conjointement à des expositions collectives, ses films ont été projetés dans le cadre des Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid au Palais de Tokyo, au MAGASIN, Centre national d’art contemporain de Grenoble, mais aussi à Valence en Espagne, à la galerie Mr. Pink dans le cadre des projections Screens - digital video creation series.
"My Eyes Are Gone" s'inspire d’un fait réel. Après un accident de la circulation et la mort de la femme qu'il aimait, Félix détaille les souvenirs de son propre corps accidenté et malade. Sa parole circonscrit un espace mental complexe travaillé par l’obsession d'organiser et de mettre en scène sa propre disparition.
"My Eyes Are Gone" s'inspire d’un fait réel. Après un accident de la circulation et la mort de la femme qu'il aimait, Félix détaille les souvenirs de son propre corps accidenté et malade. Sa parole circonscrit un espace mental complexe travaillé par l’obsession d'organiser et de mettre en scène sa propre disparition.