Née le 2 mars 1982 à Paris, d’origine sino-khmère, Jenny Teng mène des études de lettres et entre à l’Institut d’Études Politiques de Toulouse où elle développe, avec des ONG au Cambodge, deux projets de développement auprès d’enfants des rues. Durant cette expérience de terrain, elle réalise un travail photographique qu’elle expose à son retour. En résidence d’écriture à Lussas en 2005, elle mène un projet de film documentaire sur la jeunesse de Kigali, puis, de retour d’un double voyage, elle intègre le monde du spectacle vivant, en tant que vidéaste et danseuse, associe la création vidéographique documentaire et le mouvement chorégraphique : "Des Témoins Ordinaires", pièce produite par le festival d’Avignon de l’édition 2009 questionne la possibilité d’extérioriser l’expérience subjective de la torture. "Tours d’exil" est le fruit d’une écriture nourrie d’expériences et de rencontres, une traversée du quartier de l’enfance, d’un territoire et de ses habitants, un regard à la fois intérieur et extérieur. Ce premier film interroge le rapport à trouver avec la communauté d’origine et s’apparente à une quête initiatique.
Terre d'asile pour les réfugié·es sino-khmers dans les années 70-80, le 13e arrondissement de Paris est habité par la migration d'une mémoire douloureuse, forcée par le régime sanguinaire de Pol Pot au Cambodge. Les tours où se concentrent les logements et les histoires individuelles dessinent dans le quartier d'infinies verticales qui s'évanouissent dans le ciel. Pha, Ta Meng, So Savoeun et Bo...
Terre d'asile pour les réfugié·es sino-khmers dans les années 70-80, le 13e arrondissement de Paris est habité par la migration d'une mémoire douloureuse, forcée par le régime sanguinaire de Pol Pot au Cambodge. Les tours où se concentrent les logements et les histoires individuelles dessinent dans le quartier d'infinies verticales qui s'évanouissent dans le ciel. Pha, Ta Meng, So Savoeun et Bo...
Terre d'asile pour les réfugié·es sino-khmers dans les années 70-80, le 13e arrondissement de Paris est habité par la migration d'une mémoire douloureuse, forcée par le régime sanguinaire de Pol Pot au Cambodge. Les tours où se concentrent les logements et les histoires individuelles dessinent dans le quartier d'infinies verticales qui s'évanouissent dans le ciel. Pha, Ta Meng, So Savoeun et Bo...
Terre d'asile pour les réfugié·es sino-khmers dans les années 70-80, le 13e arrondissement de Paris est habité par la migration d'une mémoire douloureuse, forcée par le régime sanguinaire de Pol Pot au Cambodge. Les tours où se concentrent les logements et les histoires individuelles dessinent dans le quartier d'infinies verticales qui s'évanouissent dans le ciel. Pha, Ta Meng, So Savoeun et Bo...