Après des études en arts plastiques, puis aux Beaux-Arts de Marseille, Helena Malak travaille la photographie argentique, le film et l'écriture. Chacune de ses créations est imprégnée des arts plastiques et d'une approche documentaire. Elle rentre ensuite en Master d’Écritures Documentaires à Marseille et réalise son premier film La nuit je marche en co-écriture avec Françoise Mayençon, au sujet du re-désir de vie. Son cinéma s'intéresse à ce qui se vit derrière les images et les sons, les rencontres et les histoires que l'on se raconte et trouve ainsi sa place entre poésie et réalité.
Tout part de la rencontre entre Helena et Françoise. Entre elles, une quarantaine d’années et un fauteuil roulant, soit presque rien. Dans une balade cinématographique, elles se demandent comment le fait de tomber amène à vivre autrement. L’acte de se relever devient un cri de désir pour la vie.
Tout part de la rencontre entre Helena et Françoise. Entre elles, une quarantaine d’années et un fauteuil roulant, soit presque rien. Dans une balade cinématographique, elles se demandent comment le fait de tomber amène à vivre autrement. L’acte de se relever devient un cri de désir pour la vie.