Née à Paris en 1979, Ève Duchemin a fait ses études supérieures à Bruxelles, à l’INSAS, d’abord en mise en scène de théâtre puis en section "image". Elle réalise des portraits documentaires et des courts métrages de fiction ("Ghislain et Liliane, couple avec pigeons", 2005, "Mémoire d'envol", 2007, "Le Zoo, L’Usine et la Prison", 2006). Elle esquisse ensuite le portrait d'une jeunesse toujours plus précarisée dans "Avant que les murs tombent" (2009), et "L'Âge adulte" (2012), primé à Brive, Nyon, Poitiers et Clermont-Ferrand notamment. En 2009, elle tourne un court métrage de fiction, "Sac de nœuds". Ce film, salué et primé dans les festivals l'encourage à poursuivre la fiction. Mais c'est en préparant son dernier documentaire, ("En bataille, portrait d'une directrice de prison", 2016), que Ève Duchemin découvre, auprès des détenus avec qui elle travaille en atelier, le sujet de son premier long métrage de fiction qu’elle prépare actuellement pour le cinéma : "Temps mort".
Près de Charleroi, Colin vit seul avec sa mère dans une maison insalubre, qui s'effondre chaque jour, un peu plus. Face à la misère, il écrit avec ses potes dans sa chambre, devenue pour l’occasion, une "maison de jeunes" improvisée. Du rap comme exutoire et comme nécessité. La seule manière qu'ils ont trouvée pour faire parler de cette pauvreté au cœur de l'Europe, et qu'on ne regarde plus. ...
Près de Charleroi, Colin vit seul avec sa mère dans une maison insalubre, qui s'effondre chaque jour, un peu plus. Face à la misère, il écrit avec ses potes dans sa chambre, devenue pour l’occasion, une "maison de jeunes" improvisée. Du rap comme exutoire et comme nécessité. La seule manière qu'ils ont trouvée pour faire parler de cette pauvreté au cœur de l'Europe, et qu'on ne regarde plu...
À la tête d’un centre pénitentiaire pour hommes depuis quatre ans, Marie Laffont a dû se forger une carapace. Dans ce microcosme, les tensions sont avivées, les esprits s'échauffent vite. Lucide sur la manière dont sa fonction est perçue par les détenus, les surveillants et plus globalement par la société, Marie doit démontrer jour après jour ses qualités pour apporter des réponses adaptées. À ...
Près de Charleroi, Colin vit seul avec sa mère dans une maison insalubre, qui s'effondre chaque jour, un peu plus. Face à la misère, il écrit avec ses potes dans sa chambre, devenue pour l’occasion, une "maison de jeunes" improvisée. Du rap comme exutoire et comme nécessité. La seule manière qu'ils ont trouvée pour faire parler de cette pauvreté au cœur de l'Europe, et qu'on ne regarde plus. ...
Près de Charleroi, Colin vit seul avec sa mère dans une maison insalubre, qui s'effondre chaque jour, un peu plus. Face à la misère, il écrit avec ses potes dans sa chambre, devenue pour l’occasion, une "maison de jeunes" improvisée. Du rap comme exutoire et comme nécessité. La seule manière qu'ils ont trouvée pour faire parler de cette pauvreté au cœur de l'Europe, et qu'on ne regarde plu...
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