Emmanuelle Demoris, née à Londres à 1965, habite Paris, ville dans laquelle elle a fait ses études. Diplômée de la Fémis, elle a été d'abord metteuse en scène de théâtre. Devenue scénariste, elle fait la rencontre de Jean Gruault, qui deviendra le producteur de "Mafrouza". En 1998, elle réalise son premier documentaire, "Mémoires de pierre", portant le passé et le présent d'une carrière de pierre près de Paris. "Mafrouza" est né de sa recherche filmique sur les morts et les vivants en Méditerranée. Cette œuvre filmée sur deux années complètes a bénéficié d'une belle visibilité internationale !
Maisons inondées, couple désuni, joue balafrée, tout est en souffrance. Se reconstruisant et reconstruisant le monde autour d’eux, les gens de Mafrouza questionnent la caméra dont la présence fait débat.
Douceur partagée des derniers jours d’août à Mafrouza. Construire un perron, faire du thé, faire le sermon, faire des enfants, faire le con, nager, danser, chanter, chacun invente et raconte sa liberté au jour le jour.
La Main du papillon - Mafrouza 4
Au fond des maisons et au coeur de l’hiver, on partage l’intimité de deux événements familiaux : la naissance d’un petit garçon et les fiançailles d’une jeune fille. Où l’on découvre comment l’imaginaire traverse la réalité, permet de la parler et de la vivre.
Peu avant l'Aïd au début du printemps, des fondamentalistes viennent s'emparer de la mosquée du quartier où le cheikh et épicier humaniste Mohamed Khattab fait depuis des années le sermon du vendredi. Les gens de Mafrouza s'indignent, tandis que Mohamed Khattab garde un silence ironique et blessé. Mais il n'a pas dit son dernier mot...
Fresque documentaire en cinq temps, tourné sur deux ans, "Mafrouza" tire son nom d’un bidonville d’Alexandrie. Construit sur les vestiges de la nécropole antique, Mafrouza est précaire. Si la vie y est rude, tous résistent avec grâce et ardeur. Mohamed Khattab, épicier-cheikh humaniste, Abu Hosny, vieux solitaire au logement inondé, la paysanne Om Bassiouni et son four à pain, tous incarnent et...
Une première visite archéologique nous conduit à rencontrer quelques personnes de Mafrouza, bidonville d'Alexandrie. Leur vitalité inventive et libre se révèle à travers leurs combats matériels et leurs chants ou poèmes qui viennent guider le récit du film.
Maisons inondées, couple désuni, joue balafrée, tout est en souffrance. Se reconstruisant et reconstruisant le monde autour d’eux, les gens de Mafrouza questionnent la caméra dont la présence fait débat.
Douceur partagée des derniers jours d’août à Mafrouza. Construire un perron, faire du thé, faire le sermon, faire des enfants, faire le con, nager, danser, chanter, chacun invente et raconte sa liberté au jour le jour.
La Main du papillon - Mafrouza 4
Au fond des maisons et au coeur de l’hiver, on partage l’intimité de deux événements familiaux : la naissance d’un petit garçon et les fiançailles d’une jeune fille. Où l’on découvre comment l’imaginaire traverse la réalité, permet de la parler et de la vivre.
Peu avant l'Aïd au début du printemps, des fondamentalistes viennent s'emparer de la mosquée du quartier où le cheikh et épicier humaniste Mohamed Khattab fait depuis des années le sermon du vendredi. Les gens de Mafrouza s'indignent, tandis que Mohamed Khattab garde un silence ironique et blessé. Mais il n'a pas dit son dernier mot...
Fresque documentaire en cinq temps, tourné sur deux ans, "Mafrouza" tire son nom d’un bidonville d’Alexandrie. Construit sur les vestiges de la nécropole antique, Mafrouza est précaire. Si la vie y est rude, tous résistent avec grâce et ardeur. Mohamed Khattab, épicier-cheikh humaniste, Abu Hosny, vieux solitaire au logement inondé, la paysanne Om Bassiouni et son four à pain, tous incarnent et...
Une première visite archéologique nous conduit à rencontrer quelques personnes de Mafrouza, bidonville d'Alexandrie. Leur vitalité inventive et libre se révèle à travers leurs combats matériels et leurs chants ou poèmes qui viennent guider le récit du film.