Dhia Jerbi est un jeune cinéaste Tunisien, né en 1991 aux Émirats arabes unis, où il a grandi. Il est rentré en Tunisie en 2003. Après son baccalauréat et un an dans une école d’ingénieur, il a changé d’orientation et s’est inscrit à l’Institut Supérieur d’Art Multimédia de la Mannouba (Tunis) où il a obtenu une licence en réalisation et écriture cinématographique. À l’ISAMM il a réalisé plusieurs films d’école, notamment "Marhouja" (FIDCAMPUS, 2014). Il est ensuite parti en France pour s’inscrire à l’École documentaire de Lussas où il a réalisé trois films dont "Au pays des oranges tristes" (EGD, 2018). Le documentaire et la fiction s’entremêlent souvent dans ses films.
C'est une lettre d'un père à son fils. Cette naissance questionne la paternité, l'exil et l'héritage dans un petit appartement qui devient, le temps d'un film, l'espace d'une rencontre de trois générations, séparées entre la Tunisie et la France.
C'est une lettre d'un père à son fils. Cette naissance questionne la paternité, l'exil et l'héritage dans un petit appartement qui devient, le temps d'un film, l'espace d'une rencontre de trois générations, séparées entre la Tunisie et la France.