Artiste plasticienne diplômée de l'École Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris et du Fresnoy, Claire Glorieux travaille principalement la vidéo, s'intéressant particulièrement au langage, mais peut aussi penser des performances, des livres, ou des chansons. Son travail a été exposé au Centre Pompidou à Paris, au Musée Albert Kahn à Boulogne-Billancourt, à la Villa Arson à Nice, aux Subsistances à Lyon, ou encore au Salon de Montrouge. Elle a animé des workshops en vidéo, arts plastiques ou musique auprès de différents publics, au Musée de l'Histoire de l'Immigration, en milieu scolaire, auprès des jeunes de la PJJ, au Palais de la Femme ou encore au service gériatrie de l’Hôpital Charles Foix à Ivry, en partenariat avec le Palais de Tokyo. Elle a notamment réalisé Un film de boules et Zou.
« C’est un film sur le poète et plasticien Jean-Luc Parant qui depuis des décennies fabrique des boules et écrit des textes sur les yeux. Touchée par son travail, j’ai eu envie de réaliser un film sur sa vision du monde qui fait écho à la mienne. C’est un film de regard : le sien sur le monde, le mien sur son monde, le mien sur le monde à travers son regard, et le sien sur le monde à travers mo...
_Zou_ raconte le chemin d’un homme avec une jambe en moins qui avance plus intensément qu’un homme valide. La jambe amputée, membre fantôme qu’il peut encore bouger dans sa tête, est le pivot de cette histoire. À la fois trace de la guerre qui lui a fait perdre la plupart des membres de sa famille et l’a forcé à fuir son pays, à la fois frein à son exode qui lui a rendu la marche douloureuse et...
« C’est un film sur le poète et plasticien Jean-Luc Parant qui depuis des décennies fabrique des boules et écrit des textes sur les yeux. Touchée par son travail, j’ai eu envie de réaliser un film sur sa vision du monde qui fait écho à la mienne. C’est un film de regard : le sien sur le monde, le mien sur son monde, le mien sur le monde à travers son regard, et le sien sur le monde à travers mo...
_Zou_ raconte le chemin d’un homme avec une jambe en moins qui avance plus intensément qu’un homme valide. La jambe amputée, membre fantôme qu’il peut encore bouger dans sa tête, est le pivot de cette histoire. À la fois trace de la guerre qui lui a fait perdre la plupart des membres de sa famille et l’a forcé à fuir son pays, à la fois frein à son exode qui lui a rendu la marche douloureuse et...