Née en 1977 à Constantine, Bahia Bencheikh El-Fegoun vit à Alger. Géologue de formation, elle intègre le milieu du cinéma en 2003. Après cinq ans d’activités comme technicienne et assistante sur plusieurs coproductions, elle suit, en 2008, un stage d’écriture documentaire aux ateliers Varan à Paris et intègre dans la foulée les ateliers Bejaïa Doc où elle signe son premier court métrage, "C’est à Constantine". Elle s’attache, dans son œuvre, à réinstaurer l’individu au centre d’une société qui semble pourtant l’oublier. Au cœur des questions politiques et sociales contemporaines, son œuvre interroge la déshumanisation des débats et offre une nouvelle réponse, plus intime, à l’évolution des sociétés.
Tarek : "J’ai quitté mon pays après que ses dirigeants m’aient humilié et fermé toutes les portes du rêve et de l’espoir". — Adel : "Que l’état de mon pays me désole… Malheureusement, on casse la compétence, on brise la conscience, on casse la beauté… je crois que les choses sont devenues plus qu’impossibles". — Tahar : "Les moyens de vie sont inexistants. Il n’y a qu...
Tarek : "J’ai quitté mon pays après que ses dirigeants m’aient humilié et fermé toutes les portes du rêve et de l’espoir". — Adel : "Que l’état de mon pays me désole… Malheureusement, on casse la compétence, on brise la conscience, on casse la beauté… je crois que les choses sont devenues plus qu’impossibles". — Tahar : "Les moyens de vie sont inexistants. Il n’y a qu...