Aldo Lee nait en Afrique du Sud et suit une formation à l'université du Witwatersrand. Il débute en 1993 avec une fiction intitulée "Sacrifice" grâce à laquelle il reçoit le prix du meilleur court métrage au festival du cinéma Sud-Africain. En France, il réalise de nombreux documentaires et reçoit les prix de meilleur documentaire avec "La Double vie de Dona Ermelinda" (52 mn) au festival Vues d'Afrique à Montréal ; et avec "Fermiers Blancs, Terre Noire" (52 mn) au Festival of the Dhow Countries’ en Tanzanie. En 2010 il passe 4 ans au Japon où il réalise le court métrage "Fukushima mon amour", sélectionné dans plusieurs festivals de court métrage (France, Allemagne, Afrique du Sud, Italie, Suisse…). En 2016 il y retourne et réalise "Mimi", court métrage de 20 mn. Il a réalisé plusieurs captations de spectacles de danse, collaboré avec des chorégraphes pour créer des images pour leurs pièces et cadré pour des films d’artistes.
“En 2015, nous avons obtenu carte blanche pour filmer l’artiste chorégraphe Jérôme Bel au travail. Mais faire un film sur Bel, c’est se lancer dans un projet paradoxal : comment mettre en scène le travail d’un "anti-metteur en scène" ? Comment rester auteur face à un artiste mondialement reconnu pour son travail de recherche sur la "mort de l’auteur" ? Pendant ce tournage au long cours, nous av...
“En 2015, nous avons obtenu carte blanche pour filmer l’artiste chorégraphe Jérôme Bel au travail. Mais faire un film sur Bel, c’est se lancer dans un projet paradoxal : comment mettre en scène le travail d’un "anti-metteur en scène" ? Comment rester auteur face à un artiste mondialement reconnu pour son travail de recherche sur la "mort de l’auteur" ? Pendant ce tournage au long cours, nous av...