Alaa Mansour est une artiste, cinéaste et archiviste libanaise qui vit et travaille entre Marseille et Beyrouth. Son travail s'intéresse à l'histoire de la violence et au pouvoir des images à l'ère de la nécropolitique. Adoptant une approche multidisciplinaire, elle explore les concepts du sacré et du sublime ainsi que leur potentiel d'horreur. Son premier film documentaire, "Aïnata" (2018), tourné au sud du Liban, a nourri et initié sa passion pour l'archive, et a été projeté dans de nombreux festivals. Elle est actuellement en charge de la recherche iconographique pour Bidayat, un magazine trimestriel littéraire et culturel publié à Beyrouth, Liban. Dernièrement, elle a été nommée pour la Han Nefkens Foundation - Fundació Antoni Tàpies Video Art Production Award 2020.
"Peut-être que ce lieu n'existe pas. Peut-être qu'il existe dans un film imaginaire qui ne saurait se terminer. Au commencement, il y a la mort du souvenir", écrit la réalisatrice à propos de son film. Ce film se déroule à Aïnata au sud du Liban. Par des éclats d'images et de voix, le film tente de cartographier les récits de ses habitants, se déployant en de multiples territoires. Archives et...
"Peut-être que ce lieu n'existe pas. Peut-être qu'il existe dans un film imaginaire qui ne saurait se terminer. Au commencement, il y a la mort du souvenir", écrit la réalisatrice à propos de son film. Ce film se déroule à Aïnata au sud du Liban. Par des éclats d'images et de voix, le film tente de cartographier les récits de ses habitants, se déployant en de multiples territoires. Archives et...