Un enfant cobaye, des hommes inquiétants sur des échasses et une très longue table d’opération deviennent les éléments étranges d’un souvenir traumatique.
Réalisateur | Adéla Komrzýová |
Acteur | Sylvain Baldus |
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"Il est bon de chuter et s’écraser au sol. De simplement répandre son poids comme si on roulait une pâte." Adéla Komrzýová documente les images qui débordent d’entre les mots de ce souvenir, dit en voix-off, d’un enfant paralysé par la poliomyélite. Ce que l’on voit est un univers où la maladie s’exprime à hauteur d’enfant mais où tout ce qui en constitue la réalité a pris une forme fantasmatique, façon d’apprendre à encaisser les chocs : les médecins sont montés sur échasses, le décor est sombre et brumeux, un bruit de ventilation résonne en permanence. "Chaque paralysie a ses bons côtés", annonce malgré tout le titre du film !
Sylvain Baldus
Réalisateur
"Il est bon de chuter et s’écraser au sol. De simplement répandre son poids comme si on roulait une pâte." Adéla Komrzýová documente les images qui débordent d’entre les mots de ce souvenir, dit en voix-off, d’un enfant paralysé par la poliomyélite. Ce que l’on voit est un univers où la maladie s’exprime à hauteur d’enfant mais où tout ce qui en constitue la réalité a pris une forme fantasmatique, façon d’apprendre à encaisser les chocs : les médecins sont montés sur échasses, le décor est sombre et brumeux, un bruit de ventilation résonne en permanence. "Chaque paralysie a ses bons côtés", annonce malgré tout le titre du film !
Sylvain Baldus
Réalisateur