Depuis 1995, des millions de migrants en provenance de divers pays d’Amérique latine tentent de passer la frontière vers l’eldorado états-unien. Ils entreprennent ce long périple au péril de leur vie. À Las Patronas, un groupe de femmes cuisine inlassablement pour redonner force et espoir à ces fragiles aventuriers qu’elles voient passer jour après jour, cramponnés au train. Le film raconte la vie de ces femmes remplies d’amour et de solidarité.
Réalisateur | Arturo González Villaseñor |
Acteur | Francisca Lucero |
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La Bestia (la bête) ou le train de la mort engloutit chaque année des migrants qui fuient la violence et la pauvreté de leur pays d’origine. Malgré sa réputation, des milliers d’hommes – pour la plupart – s'agrippent à ses wagons pour poursuivre le rêve d’un avenir meilleur. Au milieu de ce parcours périlleux, des femmes, le sourire aux lèvres, tendent leurs bras pour leur offrir de la nourriture et de l’eau. Ce geste d’une immense générosité est répété des centaines de fois, jour après jour, parfois au risque de leur propre sécurité.
La caméra se tourne vers ces femmes, pour connaître ces mères, grand-mères et filles qui consacrent leur temps à aider leurs frères migrants. Face au drame qui traverse leur village, elles ont décidé d'offrir ce qu’elles possèdent : de la bienveillance, de la solidarité. Leurs visages s’illuminent face aux questions qui les placent au cœur du film et leur donnent la reconnaissance qu’elles méritent. Une belle leçon d’empathie et d’humanité.
Francisca Lucero
Programmatrice
La Bestia (la bête) ou le train de la mort engloutit chaque année des migrants qui fuient la violence et la pauvreté de leur pays d’origine. Malgré sa réputation, des milliers d’hommes – pour la plupart – s'agrippent à ses wagons pour poursuivre le rêve d’un avenir meilleur. Au milieu de ce parcours périlleux, des femmes, le sourire aux lèvres, tendent leurs bras pour leur offrir de la nourriture et de l’eau. Ce geste d’une immense générosité est répété des centaines de fois, jour après jour, parfois au risque de leur propre sécurité.
La caméra se tourne vers ces femmes, pour connaître ces mères, grand-mères et filles qui consacrent leur temps à aider leurs frères migrants. Face au drame qui traverse leur village, elles ont décidé d'offrir ce qu’elles possèdent : de la bienveillance, de la solidarité. Leurs visages s’illuminent face aux questions qui les placent au cœur du film et leur donnent la reconnaissance qu’elles méritent. Une belle leçon d’empathie et d’humanité.
Francisca Lucero
Programmatrice
Français
Anglais