Spira Mirabilis est composé d’une quarantaine de jeunes musiciens appartenant à seize nationalités différentes. Insatisfaits de ce qu’est devenue la vie musicale classique, ils ont choisi de se réunir tous les deux mois pour étudier ensemble une œuvre symphonique. Ils travaillent sans chef d’orchestre, sans cachet et hors des circuits traditionnels. Animés par un impératif éthique et esthétique, les Spira inventent une nouvelle façon de vivre la musique. La quête du sens de la partition et de la cohérence musicale l’emporte sur la carrière, l’argent ou le succès.
Réalisateur | Gérald Caillat |
Acteur | Daniel Deshays |
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Un délice offert sur un plateau, des artistes de haut vol merveilleusement servis par une prise de son virtuose signée François Waledisch. Il ne s’agit pas d’un film de plus pour mélomanes avertis, c’est un moment de partage, d’exigence dans l’interprétation et dans la constitution d’un groupe ; l’exemple parfait d’une entreprise démocratique, un modèle pour les temps à venir.
La joie même mise en œuvre, le bonheur d’approfondir un répertoire que le travail habituel à l’orchestre ne permet pas. La volonté de se confronter au plus ardu anime le groupe : parvenir à continuer d’offrir son temps à cet orchestre exigeant, s’éprouver en faisant usage d’instruments anciens, pouvoir choisir parfois de se faire aider d’un chef pour creuser une œuvre. C’est l’intelligence de chacun partagée avec chacun, le plaisir du jeu remis à l’épreuve chaque jour. C’est un délice, de la beauté pure : de cette beauté qui tire les larmes.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Un délice offert sur un plateau, des artistes de haut vol merveilleusement servis par une prise de son virtuose signée François Waledisch. Il ne s’agit pas d’un film de plus pour mélomanes avertis, c’est un moment de partage, d’exigence dans l’interprétation et dans la constitution d’un groupe ; l’exemple parfait d’une entreprise démocratique, un modèle pour les temps à venir.
La joie même mise en œuvre, le bonheur d’approfondir un répertoire que le travail habituel à l’orchestre ne permet pas. La volonté de se confronter au plus ardu anime le groupe : parvenir à continuer d’offrir son temps à cet orchestre exigeant, s’éprouver en faisant usage d’instruments anciens, pouvoir choisir parfois de se faire aider d’un chef pour creuser une œuvre. C’est l’intelligence de chacun partagée avec chacun, le plaisir du jeu remis à l’épreuve chaque jour. C’est un délice, de la beauté pure : de cette beauté qui tire les larmes.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Français
Anglais