Le collectif vidéo féministe Les Insoumuses dissèque et répond point par point de manière humoristique à l’émission spéciale de Bernard Pivot avec Françoise Giroud, secrétaire d’état chargée de la condition féminine. "Le 30 décembre 1975, après avoir vu sur Antenne 2 l'émission de Bernard Pivot intitulée "Encore un jour et l'année de la femme, ouf ! C'est fini", nous avons éprouvé le besoin immense d'exprimer notre point de vue, de répondre…" L'ensemble se donne comme un génial détournement politique, un piratage humoristique et un manifeste pour la vidéo féministe.
Réalisateur | Carole Roussopoulos |
Acteurs | Nicole Fernández Ferrer, Nicole Fernández Ferrer |
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"Maso et Miso vont en bateau" est l’une des productions emblématiques du collectif Les Insoumuses et un des films du Centre Simone de Beauvoir les plus diffusés en France et dans le monde. En réaction à la complaisance de la Secrétaire d’État chargée de la Condition féminine à l’égard des "fieffés misos" invités de Bernard Pivot, il est une réponse mordante et argumentée de quatre féministes radicales qui repèrent, démontent et contrent ces flagrants délits de sexisme.
"Aucune image de la TÉLÉVISION ne peut nous incarner, c'est avec la VIDÉO que nous nous raconterons." scandent-elles dans le film.
Il est projeté au cinéma parisien indépendant L’Entrepôt en 1976 malgré des tentatives de Françoise Giroud pour en empêcher la diffusion. Il est aussi largement distribué au sein des groupes féministes de l’époque.
Nicole Fernández Ferrer
Déléguée générale du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir
avec l’aide d’Anne-Laure Berteau
"Maso et Miso vont en bateau" est l’une des productions emblématiques du collectif Les Insoumuses et un des films du Centre Simone de Beauvoir les plus diffusés en France et dans le monde. En réaction à la complaisance de la Secrétaire d’État chargée de la Condition féminine à l’égard des "fieffés misos" invités de Bernard Pivot, il est une réponse mordante et argumentée de quatre féministes radicales qui repèrent, démontent et contrent ces flagrants délits de sexisme.
"Aucune image de la TÉLÉVISION ne peut nous incarner, c'est avec la VIDÉO que nous nous raconterons." scandent-elles dans le film.
Il est projeté au cinéma parisien indépendant L’Entrepôt en 1976 malgré des tentatives de Françoise Giroud pour en empêcher la diffusion. Il est aussi largement distribué au sein des groupes féministes de l’époque.
Nicole Fernández Ferrer
Déléguée générale du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir
avec l’aide d’Anne-Laure Berteau
Français
Anglais