Pour les 90 ans de l’Istituto Luce, Alice Rohrwacher est invitée à puiser dans les archives du fameux institut de Rome. Composé d’entretiens sonores et d’un kaléidoscope d’images surprenantes, ce court métrage porte une réflexion sur notre rapport aux chansons. Ce court métrage fait partie de la série _[9x10 novanta](http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/62157)_, commandée à 10 cinéastes italiens par l'Istituto Luce Cinecitta en 2014.
Réalisateur | Alice Rohrwacher |
Acteur | Aurélien Marsais |
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Si bien des images – souvent solaires – nous habitent après le visionnage des films de Rohrwacher, il est impossible de ne pas penser aux chants traditionnels présents dans ses longs métrages, chantés à plusieurs et bien souvent en polyphonie, toujours intradiégétiques. Comme une volonté de faire vivre des chants entendus enfant, qui n’ont jamais disparu, comme une ultime trace à ne pas oublier. Dans son court métrage Una canzone, s’esquisse un début de réponse au recours de ces chants : il s’agit là du véhicule le plus puissant pour transmettre le passé. Et un enfant de dire : "lorsque deux ou trois personnes chantent ensemble, on pourrait croire qu’elles sont cent".
Aurélien Marsais
Programmateur, producteur
Si bien des images – souvent solaires – nous habitent après le visionnage des films de Rohrwacher, il est impossible de ne pas penser aux chants traditionnels présents dans ses longs métrages, chantés à plusieurs et bien souvent en polyphonie, toujours intradiégétiques. Comme une volonté de faire vivre des chants entendus enfant, qui n’ont jamais disparu, comme une ultime trace à ne pas oublier. Dans son court métrage Una canzone, s’esquisse un début de réponse au recours de ces chants : il s’agit là du véhicule le plus puissant pour transmettre le passé. Et un enfant de dire : "lorsque deux ou trois personnes chantent ensemble, on pourrait croire qu’elles sont cent".
Aurélien Marsais
Programmateur, producteur
Français