Une équipe de tournage atterrit à Ponticelli : le cinéma envahit un quartier de Naples à la recherche de lieux "pittoresques", transformant les immeubles, les rues et les appartements en un vaste plateau de tournage. Le film observe l'entrée de ces corps étrangers dans le quartier et les réactions qu'ils provoquent chez les gens qui y vivent.
Réalisateur | Isabella Mari |
Acteur | Claudia Maci |
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Dans ce court métrage d'études, Isabella Mari nous propose une sorte de fresque du parc de Merola, dans la banlieue napolitaine, également connu sous le nom de "parc des peintures murales", en raison des nombreuses peintures géantes d'une beauté désarmante qui ornent les façades des bâtiments. Depuis quelques années, le parc sert de décor à des séries télévisées telles que "Gomorra" et connaît une popularité qui s'insinue dans le quotidien des personnes qui y vivent, provoquant diverses réactions. De la curiosité des enfants qui suivent les équipes pour apprendre leurs secrets, à l'indifférence des personnes qui continuent leur vie comme si plus rien ne pouvait les surprendre, en passant par l'irritation de ceux qui considèrent que le cinéma est inutile car "notre vie est déjà un film". Le regard honnête et sincère d'Isabella Mari devient le métacinéma d'un quartier napolitain souvent sujet aux clichés.
Claudia Maci
Directrice de l’organisation du Festival dei Popoli
Dans ce court métrage d'études, Isabella Mari nous propose une sorte de fresque du parc de Merola, dans la banlieue napolitaine, également connu sous le nom de "parc des peintures murales", en raison des nombreuses peintures géantes d'une beauté désarmante qui ornent les façades des bâtiments. Depuis quelques années, le parc sert de décor à des séries télévisées telles que "Gomorra" et connaît une popularité qui s'insinue dans le quotidien des personnes qui y vivent, provoquant diverses réactions. De la curiosité des enfants qui suivent les équipes pour apprendre leurs secrets, à l'indifférence des personnes qui continuent leur vie comme si plus rien ne pouvait les surprendre, en passant par l'irritation de ceux qui considèrent que le cinéma est inutile car "notre vie est déjà un film". Le regard honnête et sincère d'Isabella Mari devient le métacinéma d'un quartier napolitain souvent sujet aux clichés.
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