Conçu au départ comme un film sur la marche des soldats de l’Union menée par le général William Tecumseh Sherman à travers le Sud sécessionniste – une campagne militaire considérée aujourd’hui comme le premier cas de guerre totale contre la population civile –, "Sherman’s March" est peu à peu devenu une chronique des tentatives de Ross McElwee pour trouver un nouvel amour après s’être fait quitter par sa petite amie.
Réalisateur | Ross McElwee |
Acteur | Catherine Bizern |
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"Sherman’s March" de Ross McElwee est mon film préféré du cinéaste - une des plus joyeuses découvertes que j’ai pu faire grâce à Suzette Glénadel dans sa programmation consacrée à l’amour au Cinéma du réel de l’an 2000. Le cinéaste construit avec ce film ce que sera son style, un style qui s’affinera de film en film. Il y est à la fois cinéaste et personnage, personne et narrateur, filmeur et filmé. Autofiction à la grammaire complexe, le film est une œuvre de jeunesse formidablement romanesque, qui raconte l’Amérique des années 70. Une Amérique qui oscille entre la culture surannée de la bourgeoisie du Sud et celle underground d’une jeunesse contestataire.
Catherine Bizern
Déléguée Générale - Directrice Artistique du Cinéma du Réel
"Sherman’s March" de Ross McElwee est mon film préféré du cinéaste - une des plus joyeuses découvertes que j’ai pu faire grâce à Suzette Glénadel dans sa programmation consacrée à l’amour au Cinéma du réel de l’an 2000. Le cinéaste construit avec ce film ce que sera son style, un style qui s’affinera de film en film. Il y est à la fois cinéaste et personnage, personne et narrateur, filmeur et filmé. Autofiction à la grammaire complexe, le film est une œuvre de jeunesse formidablement romanesque, qui raconte l’Amérique des années 70. Une Amérique qui oscille entre la culture surannée de la bourgeoisie du Sud et celle underground d’une jeunesse contestataire.
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