Avec "The Black Tower", nous pénétrons dans l’univers d’un homme hanté par une tour qui, croit-il, le suit dans les rues de Londres. Le personnage central n’existe qu’à travers une voix off narrative qui nous conduit du mal-être à la décompensation puis à une mort mystérieuse. Quant aux images, méticuleusement maîtrisées et articulées, elles constituent une série d’énigmes obéissant à des codes couleur, des plaisanteries et des calembours qui mettent le cerveau du spectateur au défi. (Nik Houghton, Independent Media, 1987)
Réalisateur | John Smith |
Acteur | Daniel Deshays |
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Kafka est partout : obsession présente chez chacun ou incertitude du tangible ? Ce n’est pas tant ce que peut contenir ou représenter cette masse noire qui inquiète, que son existence même et, au-delà de la mort, sa toujours discrète et monumentale présence. Même si le réveil post-générique tente de calmer les esprits, l’incertitude domine. Le son participe de cette étrangeté : démarreur de la voiture du héros, ou du camion de glaces, simple branche sciée... écoute inversée du verso du journal…
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Kafka est partout : obsession présente chez chacun ou incertitude du tangible ? Ce n’est pas tant ce que peut contenir ou représenter cette masse noire qui inquiète, que son existence même et, au-delà de la mort, sa toujours discrète et monumentale présence. Même si le réveil post-générique tente de calmer les esprits, l’incertitude domine. Le son participe de cette étrangeté : démarreur de la voiture du héros, ou du camion de glaces, simple branche sciée... écoute inversée du verso du journal…
Daniel Deshays
Ingénieur du son