Coup de tonnerre inaugural de l’oeuvre de Pierre Boulez, sa première sonate est une révolution dans le paysage musical de la France d’après seconde guerre mondiale très assagi et conventionnel. Elle marque les esprits et les oreilles et signifie qu’en musique aussi, rien ne sera plus comme avant. La réalisation affirme clairement l’objectif de susciter une écoute. Pas simple pour une musique aussi complexe, d’où une articulation tout au long du film entre l’explicatif et le sensible.
Réalisateurs | Elisabeth Coronel, Arnaud de Mezamat |
Acteur | Daniel Deshays |
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C’est un bref portrait de Pierre Boulez qui nous introduit à l’analyse de sa première sonate (1948). Le compositeur et le pianiste Pierre-Laurent Aimard sortent l’œuvre de son obscurité. Ces clés de lecture offertes dans la matière sonore elle-même, permettent de se familiariser avec l’œuvre. Cette sonate, objet historique de rupture musicale, nous oblige à quitter nos habitudes d’écoute pour atteindre la puissance d’une pure énergie en mouvement.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
C’est un bref portrait de Pierre Boulez qui nous introduit à l’analyse de sa première sonate (1948). Le compositeur et le pianiste Pierre-Laurent Aimard sortent l’œuvre de son obscurité. Ces clés de lecture offertes dans la matière sonore elle-même, permettent de se familiariser avec l’œuvre. Cette sonate, objet historique de rupture musicale, nous oblige à quitter nos habitudes d’écoute pour atteindre la puissance d’une pure énergie en mouvement.
Daniel Deshays
Ingénieur du son