Février 2009. En préparation à l’atelier "Portraits sonores", Frédérique Menant et ses camarades visitent le Palais Jacques Cœur, à Bourges. À partir d’un élément qui les aura inspiré lors de cette visite, ils devront réaliser un film de 5 minutes dont l’écriture devra partir du son, un film qui doit produire de l’écoute. Agnès Sorel, maîtresse de Charles VII, amie de Jacques Cœur, attise la curiosité de la réalisatrice. Comment faire émerger, du silence du passé, la présence d’un si lointain personnage ?
Réalisateur | Frédérique Menant |
Acteur | Daniel Deshays |
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Ce film, issu d’une formation initiée dans le cadre du Festival International des Scénaristes en mars 2009, dirigé par moi-même, fait partie d’une série développée autour d’un lieu : le Palais Jacques Cœur de Bourges.
Le projet se proposait de comprendre comment, au cinéma, le film s'éprouve de manière globale, et comment la conscience d’écoute alors disparaît. La réponse proposée fut l’abandon du synchronisme, en construisant le son avant l’image. Dans ce renversement de procédure, Frédérique Menant a choisi l'usage de la voix-off.
Produire une voix-off est un exercice qui doit interroger son mode d’écriture, entre littérature et oralité. Ici, la difficulté de faire interpréter par la réalisatrice non comédienne son écrit littéraire, nous invita à mettre en scène sa voix dans la cathédrale de Bourges, demandant à la lectrice d'abandonner son texte pour tenter de le raconter.
Ce film obtint une mention du jury aux Écrans documentaires d’Arcueil en 2009.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Ce film, issu d’une formation initiée dans le cadre du Festival International des Scénaristes en mars 2009, dirigé par moi-même, fait partie d’une série développée autour d’un lieu : le Palais Jacques Cœur de Bourges.
Le projet se proposait de comprendre comment, au cinéma, le film s'éprouve de manière globale, et comment la conscience d’écoute alors disparaît. La réponse proposée fut l’abandon du synchronisme, en construisant le son avant l’image. Dans ce renversement de procédure, Frédérique Menant a choisi l'usage de la voix-off.
Produire une voix-off est un exercice qui doit interroger son mode d’écriture, entre littérature et oralité. Ici, la difficulté de faire interpréter par la réalisatrice non comédienne son écrit littéraire, nous invita à mettre en scène sa voix dans la cathédrale de Bourges, demandant à la lectrice d'abandonner son texte pour tenter de le raconter.
Ce film obtint une mention du jury aux Écrans documentaires d’Arcueil en 2009.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Français