"Monsieur Kijima n’est plus un yakuza. Il se serait choisi un tout autre destin" clame un article d’un journal de Sapporo au Japon. Mais est-ce bien vrai ? Un mystérieux dessinateur traverse le nord du Japon à la recherche de témoins susceptibles de confirmer ou de réfuter le bouleversement existentiel de l’ex-mafieux. Au fil des rencontres, l'enquête se double d’un autre récit, entièrement visuel, composé de dessins et de furtives séquences d’animation.
Réalisateur | Lætitia Mikles |
Acteur | Daniel Deshays |
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Le travail sonore de Martin Wheeler, compositeur de la musique du film, se tient à cheval entre son et musique. Comme pour "Disneyland, mon vieux pays natal" ou "Michael Kohlhaas" pour lequel il obtint le César de la meilleure musique en 2014, son écriture se tient au cœur même de la matière sonore du film. Mise en œuvre de tensions, confectionnant des porteuses subtiles et complexes, des trames très riches – jamais trop – qui développent leurs nuances dans la durée. Une fois encore le raffinement de son écriture sonore nous émerveille.
Daniel Deshays
Ingénieur du son
Le travail sonore de Martin Wheeler, compositeur de la musique du film, se tient à cheval entre son et musique. Comme pour "Disneyland, mon vieux pays natal" ou "Michael Kohlhaas" pour lequel il obtint le César de la meilleure musique en 2014, son écriture se tient au cœur même de la matière sonore du film. Mise en œuvre de tensions, confectionnant des porteuses subtiles et complexes, des trames très riches – jamais trop – qui développent leurs nuances dans la durée. Une fois encore le raffinement de son écriture sonore nous émerveille.
Daniel Deshays
Ingénieur du son