"... chaque homme est un morceau du continent, une partie de l’ensemble." "Nul Homme n’est une île" est un voyage en Europe, de la Méditerranée aux Alpes, où l’on découvre des hommes et des femmes qui travaillent à faire vivre localement l’esprit de la démocratie et à produire le paysage du bon gouvernement. Des agriculteurs de la coopérative "le Galline Felici" en Sicile aux architectes, artisans et élus des Alpes suisses et du Voralberg en Autriche, tous font de la politique à partir de leur travail et se pensent un destin commun. Le local serait-il le dernier territoire de l’utopie ?
Réalisateur | Dominique Marchais |
Acteur | Brieuc Mével |
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Depuis "Le Temps des grâces", son premier long métrage, Dominique Marchais trace un cheminement cinématographique passionnant autour de la question centrale de notre temps, celle du rapport déséquilibré de l’espèce humaine à son milieu de vie.
Dans ce troisième et dernier volet, le cinéaste scrute des expériences économiques alternatives, dans lesquelles des communautés humaines travaillent un autre rapport au territoire, à ceux qui y vivent et y travaillent, en intelligence avec le milieu. Par un montage subtil, Dominique Marchais relate de manière très éloquente l’opposition entre le flux permanent et hors sol de l’économie globalisée et une autre forme d’économie, reterritorialisée.
À la manière de l’araignée qui tisse sa toile, ces alternatives multiplient les liens des hommes à leur milieu, et ce faisant, redessinent une nouvelle forme de richesse ancrée à une échelle locale, nouvel horizon de nos sociétés.
Brieuc Mével
Coordinateur réseau d'éducation populaire
à l'environnement et au développement durable
Depuis "Le Temps des grâces", son premier long métrage, Dominique Marchais trace un cheminement cinématographique passionnant autour de la question centrale de notre temps, celle du rapport déséquilibré de l’espèce humaine à son milieu de vie.
Dans ce troisième et dernier volet, le cinéaste scrute des expériences économiques alternatives, dans lesquelles des communautés humaines travaillent un autre rapport au territoire, à ceux qui y vivent et y travaillent, en intelligence avec le milieu. Par un montage subtil, Dominique Marchais relate de manière très éloquente l’opposition entre le flux permanent et hors sol de l’économie globalisée et une autre forme d’économie, reterritorialisée.
À la manière de l’araignée qui tisse sa toile, ces alternatives multiplient les liens des hommes à leur milieu, et ce faisant, redessinent une nouvelle forme de richesse ancrée à une échelle locale, nouvel horizon de nos sociétés.
Brieuc Mével
Coordinateur réseau d'éducation populaire
à l'environnement et au développement durable
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