Les films de Wapikoni mobile

Les films de Wapikoni mobile

Au début des années 2000, la réalisatrice Manon Barbeau écrit un scénario de long métrage de fiction intitulé "La Fin du mépris" avec une quinzaine de jeunes Atikamekw, peuple autochtone du Québec. Parmi ces jeunes, Wapikoni Awashish, modèle positif de sa communauté, est la figure de proue du groupe. En mai 2002, alors qu’elle n’a que 20 ans et qu’elle déborde de projets, Wapikoni meurt dans un accident de voiture. Déjà profondément touchée par les nombreux suicides chez les jeunes de la communauté, Manon Barbeau est bouleversée par la mort accidentelle de sa plus proche collaboratrice. Elle conçoit alors l’idée d’un studio mobile comme lieu de rassemblement, d’intervention et de création audiovisuelle et musicale pour les jeunes des Premières Nations et le baptise Wapikoni mobile en hommage à la jeune femme. Depuis 2003, le Wapikoni mobile circule dans les communautés autochtones et offre aux jeunes des Premières Nations des ateliers permettant la maîtrise des outils numériques par la réalisation de courts métrages et d’œuvres musicales. À chacune de ses escales, des "cinéastes-accompagnateurs" accueillent une trentaine de jeunes participants en formation à toutes les étapes de la réalisation.

Au début des années 2000, la réalisatrice Manon Barbeau écrit un scénario de long métrage de fiction intitulé "La Fin du mépris" avec une quinzaine de jeunes Atikamekw, peuple autochtone du Québec. Parmi ces jeunes, Wapikoni Awashish, modèle positif de sa communauté, est la figure de proue du groupe. En mai 2002, alors qu’elle n’a que 20 ans et qu’elle déborde de projets, Wapikoni meurt dans un accident de voiture.
Déjà profondément touchée par les nombreux suicides chez les jeunes de la communauté, Manon Barbeau est bouleversée par la mort accidentelle de sa plus proche collaboratrice. Elle conçoit alors l’idée d’un studio mobile comme lieu de rassemblement, d’intervention et de création audiovisuelle et musicale pour les jeunes des Premières Nations et le baptise Wapikoni mobile en hommage à la jeune femme.
Depuis 2003, le Wapikoni mobile circule dans les communautés autochtones et offre aux jeunes des Premières Nations des ateliers permettant la maîtrise des outils numériques par la réalisation de courts métrages et d’œuvres musicales. À chacune de ses escales, des "cinéastes-accompagnateurs" accueillent une trentaine de jeunes participants en formation à toutes les étapes de la réalisation.

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