La CinéFabrique – École nationale supérieure de cinéma est un établissement public d’enseignement supérieur français destiné à former de jeunes étudiant·es entre 18 et 26 ans dans les métiers du cinéma et de l’audiovisuel, basé à Lyon et Marseille.
La CinéFabrique est née à Lyon en 2015 de la volonté d’ouvrir les métiers du cinéma à une réelle diversité sociale, culturelle, géographique, mais aussi à la diversité des niveaux scolaires, des points de vue, et à la parité femmes-hommes.
Les écoles de cinéma restent en effet trop souvent réservées à une minorité issue d’un milieu social privilégié, que des jeunes n’ayant ni les moyens académiques pour réussir les concours des grandes écoles ni les moyens financiers pour assumer le coût des frais de scolarité des écoles privées, restent pour beaucoup à la porte de carrières techniques ou artistiques.
Pour atteindre cet objectif, la CinéFabrique se différencie d’autres écoles de cinéma et d’audiovisuel en privilégiant l’apprentissage par le faire, l’insertion professionnelle par l’alternance, l’engagement des élèves dans les pays émergents, dans les territoires défavorisés et les écoles de la Région. Surtout, elle propose une sélection ouverte qui ne repose pas sur le niveau académique : pas de sélection sur les notes ou le dossier scolaire (l’école est ouverte à niveau BAC mais des dérogations sont possibles), pas de questions scientifiques, techniques ou de culture générale lors des épreuves, pas de discrimination à l’écrit. Grâce à cette sélection, les élèves présentent une réelle diversité de parcours qui fait la richesse de l’école.
La CinéFabrique propose des formations dans sept départements : le scénario, l’image, le son, le montage, les VFX, les décors et la production. L’identité de l’école se concrétise par une cantine scolaire collaborative bio et locale, une ouverture à l’international via le programme d’échange Cine Nomad School et un apprentissage du cinéma essentiellement par la pratique permettant la réalisation de 100 films chaque année.
3 documentaires
Bénédicte est à Sète. Elle s’y sent mal. C’est ici qu’habitait Jeannine, la mère de sa mère. Jeannine n’était pas une mamie gâteau, plutôt l’inverse. Il ne lui reste que cette ville et un journal intime. En parcourant les rues et les archives familiales, elle va tenter de recréer un lien avec cette figure qu’elle n’a jamais vraiment connue.
Fatmé, 11 ans, a quitté la Syrie avec toute sa famille pour vivre au Liban, dans une tente au bord d’une route de campagne. Ses cheveux en bataille, ses habits sales et son amour de la bagarre font débat dans son entourage. Sa mère s’interroge : est-elle une fille ou un garçon ? À cette question, Fatmé répond en riant : « Je veux juste être la plus forte ».
Bénédicte est à Sète. Elle s’y sent mal. C’est ici qu’habitait Jeannine, la mère de sa mère. Jeannine n’était pas une mamie gâteau, plutôt l’inverse. Il ne lui reste que cette ville et un journal intime. En parcourant les rues et les archives familiales, elle va tenter de recréer un lien avec cette figure qu’elle n’a jamais vraiment connue.
Fatmé, 11 ans, a quitté la Syrie avec toute sa famille pour vivre au Liban, dans une tente au bord d’une route de campagne. Ses cheveux en bataille, ses habits sales et son amour de la bagarre font débat dans son entourage. Sa mère s’interroge : est-elle une fille ou un garçon ? À cette question, Fatmé répond en riant : « Je veux juste être la plus forte ».